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Le monde est-il déjà piloté par l’intelligence artificielle générative (IAG) ? C'est du moins ce que ChatGPT suggérait comme titre pour ce blogue. Pourtant, l’élément central de ma requête était de présenter notre service d’audit GEO (Generative Engine Optimization). J’ai pris le titre tel quel, même si je ne le trouvais pas particulièrement adéquat – juste pour démontrer comment il peut y avoir une nette différence entre ce que produit l’IA et ce que produit un humain. C’est d’ailleurs le seul élément de ce blogue qui a été écrit par l’IA, sauf une section à la toute fin, vous verrez. Il est important de se rendre à la toute fin.

Pourquoi l’analyse GEO change-t-elle la donne en communication et marketing ?

La popularité grandissante des modèles d’IAG impose de considérer avec sérieux ces canaux. Selon une récente étude de Léger, près de 50% des Canadiens utilisent l’IA, et ce pourcentage monte à 73% chez les jeunes (18-34 ans). Ces modèles IA s’ajoutent aux éléments essentiels à analyser, au même titre que votre site web ou les médias sociaux.

Un audit GEO permet donc d’analyser, entre autres :

• Ce que les plateformes d’IA générative comprennent de votre marque

• Les sujets et messages qui résonnent le mieux auprès de vos cibles

• La différence entre votre positionnement, celui généré par les modèles d’IA (ChatGPT, Gemini, Perplexity, etc.) et le sentiment (sentiment analysis) des publics envers votre marque.

Il permet également de comparer ces résultats à ceux du SEO et de la performance de vos divers outils de communication afin d’en tirer un portrait global et des recommandations qui s'appliquent dans une vision intégrée des communications et du marketing, fidèle à notre approche chez Casacom.

Cette approche intégrée est importante, car l’importance du GEO varie pour les organisations. Certaines doivent mesurer le trafic que l’IAG procure, alors que d’autres vont plutôt viser à ce que l’IA présente avantageusement leur marque lorsque les cibles évaluent leurs options.  

En quoi ça se différencie du SEO ?

En rien, mais en tout à la fois (vous voyez que je suis nuancé dans mes réponses, alors que l’IA ne l’est pas tout le temps) ! Malgré un principe de base commun - bien ressortir dans un générateur de résultats - les résultats peuvent être drastiquement différents, d’où la pertinence de combiner une analyse GEO à l’analyse SEO.

Les piliers essentiels sont aussi similaires entre les deux domaines : l’optimisation technique, la clarté du contenu ainsi que la crédibilité que procurent des référents externes. Encore plus simplement : est-ce que les robots ont accès au contenu, est-ce que l’information est pertinente, claire et intéressante pour les cibles et est-ce que d’autres entités ou personnes appuient ce que dit ou fait l’organisation ?

Si la réponse est “Oui” à ces trois questions, vos résultats SEO et GEO devraient être pas si mal. Si la réponse est “Aucune idée”, “Non” ou “Quels robots?” : un audit SEO/GEO nous vous ferait pas de mal!  

Au final, à quoi ça sert, l’audit GEO ?

À comprendre ce que l’IA dit sur notre marque, et ce que les gens demandent à l’IA en lien avec l'organisation.  

À mesurer l’effet sur la notoriété, la crédibilité ou l’intérêt envers votre marque et identifier les opportunités ou enjeux qui en découlent.

À adapter son plan de communication, sa stratégie de marketing numérique, ses efforts en leadership d’opinion ou encore des initiatives ESG.

Essentiellement, ça sert à mieux communiquer.

Comme dirait ChatGPT :

“Votre marque mérite une lecture fine et stratégique de son empreinte numérique. Grâce à notre service GEO, transformez des données éparses en décisions éclairées et amplifiez la puissance narrative de votre organisation.

Découvrez comment Casacom peut révéler, clarifier et orchestrer votre présence informationnelle.”  

Si vous voulez l’intégral du blogue sur l’audit GEO produit par ChatGPT, c’est ici :  Blogue « Version IA ».

Pour éviter que votre utilisation de l’IA vous génère du contenu similaire à ce paragraphe, je vous suggère nos formations à ce sujet.